Sébastien Michaud, multi-instrumentiste et représentant musique à l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau-Brunswick (AAAPNB), vit lui-même les lacunes de ce modèle de redevance.
« Ce modèle d’entreprise là profite seulement aux gens qui font de la musique très pop très commerciale qui va se faire streamer à des millions de fois (…). Les artistes plutôt locaux ou les artistes qui veulent faire de la musique plus ambitieuse vont avoir un peu de misère à rentabiliser le coût de la production de leur album », explique-t-il.

Reportage d'Océane Doucet